Marilie Bilodeau, c’est la réincarnation de la France des années 50-60, un concentré des Brassens, Aznavour, Barbara et Brel dans un p’tit bout de femme au charme indéniable, à l’exubérance assumée. Pour créer, elle s’inspire de ses aléas toujours colorés, de ses propres histoires pas possibles ou de ses moments de tempête.
Avec la venue de son premier opus, Marilie s’est entourée du réalisateur-arrangeur rimouskois Antoine Létourneau Berger (Talfast, L’œil et le monocle, Equse), qui a su habiller ses chansons de leurs plus beaux habits du dimanche, en ayant comme soucis de mettre en valeur ses histoires et son univers.
Suite à cette collaboration, la musique marilienne se fait plus riche. On y reconnait toujours cette couleur de grande chanson française, mais teintée cette fois de sonorités balkaniques, de quatuor à cordes ou de big band des années 30.